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Remarque : Adrastée est la jeune sœur de Io et la fille d'Ananké. Elle est aussi la plus jeune des Naïades. Son nom signifie “qui ne recule pas” Référence mythologique : Dans la mythologie, Adrastée est une nymphe, soeur de Io, chargée de distraire Zeus nourrisson pour que celui-ci n'attire pas son père Cronos qui l'aurait mangé : en effet, Rhéa avait dissimulé son fils afin de le protéger de son père Ainsi pour l'empêcher de pleurer, elle lançait, devant les yeux de Zeus, une boule dorée, traçant des filons d'or dans l'air, ressemblant à une étoile filante. Selon d'autres versions, elle serait fille d'Ananké et de Zeus. Elle est ”celle à qui personne n'échappe”, elle punit l'injustice humaine, qui est une transgression de l'ordre juste et naturel des choses, alors elle est identifiée à Némésis, la Déesse de la Justice Divine et de la Vengeance. Charybde est le monstre marin placé dans le détroit de Messine juste en face de Scylla. Charybde était autrefois une jolie jeune femme, fille de Poséidon et de Gaia. Malheureusement Zeus, pour la punir d'avoir dérobé et mangé du bétail de Géryon, l'envoya au fond des eaux et la condamna à engloutir et régurgiter trois fois par jour la mer et tout ce qui s'y trouve. Description physique : Adrastée est pourvue d'une chevelure rose magnifique lui tombant raide à ras des épaules. Ses yeux sont d'un rouge éclatant presque sanglant, pourtant elle n'a rien de sanguinaire. Elle est très mince et très pâle, ce qui lui donne un physique des plus spéciales, qui est pourtant loin d'être disgracieux. Description mentale : La naïade de Charybde est une jeune femme sensible, qui verse facilement larme. En effet, la mort de son frère lui a fait vivre un réel traumatisme, et elle garde grande rancœur contre le jeune Saint d'Andromède. Nonobstant le fait qu'elle semble fragile, elle peut faire preuve d'une grande détermination quand il s'agit de défendre sa maîtresse ou ses idéaux. Elle n'est pas mauvaise, mais les sentiments qu'elle éprouve envers Shun la rongent et la poussent dans la haine : elle est totalement perdue et ne sait plus vraiment où elle en est. Histoire : Adrastée a longtemps vécu heureuse sur l'île de San Felix auprès de sa mère Ananké et de son frère Io. Ananké est une guerrière farouche et a souhaité élever dans les mythes de l'Océan ses enfants, connaissant les traditions de l'Empereur des Océans et souhaitant perpétuer sa garde : voilà pourquoi elle entraîna ses enfants dans le but de servir Poséidon. Un beau jour Io disparut, laissant Adrastée dans une mélancolie sans fin, jusqu'au jour où sa mère lui avoua que le jeune homme avait répondu à l'appel de l'Océan. Ce jour là Adrsatée se vit déchirée entre deux sentiments très contradictoires, le premier étant une fierté illimitée éprouvée à l'égard de son frère, le deuxième étant un sentiment de déception quant à ne pas avoir été élue. C'est pour essayer d'exprimer ce qu'elle ne savait dire avec des mots qu'elle se mit à chanter : remarquable chanteuse, sa voix, comparable au chant d'un rossignol, calme les esprits et plonge quiconque l'entend dans la sérénité et la paix de l'âme. Toutefois la vie continuait son cours et Adrastée jamais ne cessa de s'entraîner, jusqu'à ce terrible moment où elle sentit son cœur se déchirer, où sa mère vint la prévenir que le cosmos de Io venait de disparaître, pour de bon, à jamais… Quelques temps plus tard, sa mère l'emmena dans un endroit mystérieux, Sanctuaire d'Amphitrite, afin d'être promue naïade. A présent elle est Adrastée de Charybde, et son rang lui a permis d'apprendre qui est le meurtrier de son père : le jeune Chevalier d'Andromède. Attaques : * Waters Wall (Mur des Eaux) : Adrastée de Charybde est capable de créer un mur fait d'eau qui encercle son adversaire et resserre son étreinte mortelle afin de broyer son opposant sous la pression et le noyer dans d'affreuses douleurs. * Charybdis Blow (Souffle de Charybde) : Derrière Adrastée apparaît la terrifiante Charybde, oppressant l'adversaire de son aura et lui inspirant total effroi. Ainsi l'ennemi se voit aspiré en direction d'Adrastée dans une violence inouïe pour se voir littéralement expulsé par le souffle contraire de Charybde dispensé par un coup de poing fulgurant de la jeune fille. Ainsi fidèle à sa légende, Charybde aspire et rejette tout ce qui se trouve sur son chemin… Cette attaque ressemble quelque peu au “Big Tornado” du défunt Io de Scylla. * Lethal Serenade (Sérénade mortelle) : La jeune naïade est capable d'utiliser sa voie telle une arme mortelle. Cet arcane est son arcane majeur : elle entonne une chanson mystique qui endort les sens de l'adversaire lui faisant ressentir l'étrange sentiment d'être comme sur un nuage, atteignant jusqu'à l'extase. Ainsi c'est sur un sentiment de sérénité que s'achève la vie de son opposant, en même temps que se termine la sérénade mortelle…
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Remarque : Ananké est la mère de Io et d'Adrastée, elle est la doyenne des naïades. On la reconnaît facilement à son physique et au médaillon qu'elle porte autour de son cou, médaillon renfermant un portrait de ses deux enfants chéris… Référence mythologique : Ananké est, selon certaines légendes, la mère des Moires et la personnification de la Nécessité et de la force de la Destinée. Elle est la mère d'Adrastée. Dans les mythes judéo-chrétiens, le Léviathan est un monstre marin créé à l'aube du temps. Il est représenté sous la forme d'un serpent ou d'un dragon. Il représente les forces primitives que seul Dieu peut maîtriser, le chaos primordial. Il a été, selon la bible, crée par Dieu entre le cinquième et le sixième jour, en même temps que sa contrepartie terrestre Béhémoth. Description physique : Tout comme ses deux enfants, Ananké est pourvue de magnifiques yeux rubis, lui donnant, avec sa chevelure magenta attachée en chignon, un air des plus graves et sérieux. En effet, elle n'a pas l'air des plus sympathiques, et sa physionomie n'est pas pour arranger la chose : Ananké a quelque chose en elle qui fait qu'elle apparaît comme sévère et autoritaire, ce qui n'est pas totalement faux, mais son physique ne fait que renforcer cette sensation de se trouver face à une femme sévère et autoritaire. Description mentale : Ananké est une femme qui peut se montrer froide, autoritaire, dure, sévère, et même parfois cruelle, pourtant, il n'en a pas toujours été ainsi. Au fond d'elle c'est une personne sensible, mais pour elle, les sentiments n'ont pas de place dans ce monde d'intolérance et de vice, voilà pourquoi elle se refuse à toutes sorte d'émotions. La Naïade du Léviathan est solitaire, et des seules personnes qu'elle aimait vraiment durant son existence, deux sont mortes : son amour il y a déjà si longtemps maintenant, et son fils Io. Heureusement il lui reste Adrastée sans qui elle serait véritablement une âme morte. A l'égal de sa fille elle voue une haine farouche envers Shun, le Chevalier d'Andromède, le meurtrier de son fils. Histoire : Ananké a toujours vécu sur l'île de San Félix, c'est d'ailleurs sur cette même île que ses parents lui ont transmis les valeurs de l'Océan. Un jour qu'elle se promenait sur la plage elle rencontra un homme, Inachos, d'un charme irrésistible, et bientôt de cette rencontre naquit un petit garçon qui se prénomma Io. Trois ans plus tard, alors que cet homme qui pourtant était encore dans la force vive de la jeunesse venait d'être foudroyé par une terrible maladie, Ananké mit au monde le dernier souvenir que lui légua son défunt amour : Adrastée, une magnifique petite fille. Pourtant la mort de son mari ne lui laissa pas seulement le bonheur de cette enfant, mais également le malheur de trouver son testament : dans ses derniers vœux il souhaitait qu'Ananké éveille ses enfants à la conscience guerrière afin que ceux-ci puissent un jour défendre les intérêts de l'Océan. Inachos en effet, projetait d'entraîner sa descendance afin de les rendre forts et invulnérables, afin que ceux-ci puissent servir les intérêts de la Mer. Ananké, pour la dernière fois de sa vie, pleura, et elle se jura d'entraîner ses enfants afin que ceux-ci deviennent invulnérables. A présent, mis à part sa fille, est le dessin, sa seule véritable passion, outre le fait qu'elle nourrit de sombres desseins envers Shun, mais ceci n'est pas une passion, mais bel et bien une obsession… Attaques : * Sea Dragon Tears (Les Larmes du Dragon des Mers) : Ananké fait appel au pouvoir ancestral du Léviathan : le pouvoir de la glace. Levant ses bras comme pour invoquer les puissances célestes, une pluie fine, argentée, des plus merveilleuses à contempler, tombe doucement. Puis, alors que l'ennemi ne s'y attend pas, celle-ci se transforme en cristaux de glace aiguisés tombant du ciel, détruisant tout sur leur passage. * Leviathan Fury (La Fureur du Léviathan) : Cet assaut est une attaque double en réalité, là repose toute l'essence de cette redoutable offensive. Ananké fait simultanément appel à la puissance glaciale et au souffle brûlant du Léviathan. Alors que le terrible Léviathan se dessine dans son aura, elle concentre une sphère de glace dans sa main gauche et une sphère incandescente dans sa main droite. S'ensuit alors de multiples combinaisons d'attaques : soit Ananké choisit de lancer ses sphères l'une après l'autre, soit elle choisit de les envoyer en même temps sur son opposant, créant un choc thermique des plus destructeurs. Le pire qui puisse arriver, et cela lui demande une maîtrise parfaite, est de faire fusionner ses deux sphères, soit en recouvrant la sphère de glace d'une surface incandescente, soit en recouvrant la sphère brûlante d'une couche givrée, créant un arcane prodigieux, pouvant détruire les plus solides des armures et faire mordre la poussière aux plus terribles combattants. * Dragon Fly (L'Ultime Dragon) : Cette attaque n'est autre que l'ultime attaque possédant chaque combattant sous la protection d'un Dragon Légendaire. Que ce soit Shiryu, Siegfried, Kanon par le passé, ou encore Myron, chaque guerrier dragon possède cet ultime arcane infaillible qui permet d'emporter son adversaire dans la mort, en sublimant son cosmos à son paroxysme et en le faisant exploser. Un Dragon ne meurt jamais seul : ainsi il part, affublé de sa victime, graver dans les cieux ses dernières larmes d'adieu. |
Remarque : C'est un adversaire non négligeable et l'une des favorites d'Amphitrite. Elle possède un grande sens de l'honneur et de la justice. La flûte qui lui sert à attaquer ressemble à un long coquillage sculpté. Référence mythologique : Lysithéa dans la mythologie grecque n'est autre que l'une des cinquante filles de Nérée et de Téthys appelées les Néréides. Elle fait également partie des non moins nombreuses conquêtes du grand Zeus. Description physique : La Naïade du Requin allie la beauté méditerranéenne à la fraîcheur balkanique. Avec ses cheveux bleu cyan comme l'océan et ses yeux violet clair on pourrait aisément la prendre pour une sirène des mers du Nord, tout droit sortie des contes d'Andersen. Mais sa peau bronzée, son accent chaud des filles du Sud et sa façon de nouer ses cheveux en queue de cheval dénotent son appartenance au peuple qui inventa les dieux anciens : les Hellènes. Description mentale : D'apparence plutôt calme et sage, Lysithéa porte en fait en elle les séquelles d'un traumatisme subi pendant l'enfance et qu'elle s'efforce de cacher derrière une apparente sérénité. Amie d'enfance de Sorrente, avec qui elle a été entraînée, elle partage avec lui l'amour de la musique, même si la large gamme offensive de sa flûte traduit chez elle sa volonté d'extérioriser sa révolte par la musique. Comme le requin, son écaille, tout en elle la dispose à l'attaque plus qu'à la défense. Histoire : Lysithéa est née de parents immigrés des Balkans dans une ville grecque, toute proche de la frontière macédonienne. Peu de temps après la mort de Tito, ceux-ci regagnèrent leur pays d'origine emmenant leur petite fille avec eux, mais ils furent bientôt obligés de fuir la péninsule, car les relations entre les différentes ethnies s'étaient dégradées. Malheureusement, le bateau sur lequel ils tentèrent de regagner la Grèce fut appréhendé par des pirates/contrebandiers qui, ne voulant pas laisser de témoins, coulèrent sans aucune pitié le bateau. Lysithéa échappa de justesse à la noyade et dériva pendant plusieurs jours sur la mer Egée, quand elle sentit une force irrésistible l'attirer vers les profondeurs abyssales. Elle se réveilla dans le temple sous-marin de Poséidon où on lui apprit qu'en attendant de devenir une guerrière émérite elle serait entraînée en vue de devenir une protectrice de Poséidon, comme tous ceux qui échouaient en ce lieu. Elle fit donc la connaissance d'un garçon nommé Sorrente, avec lequel elle développa une franche camaraderie, mais aussi une certaine rivalité dans la maîtrise de la flûte. Quelques années plus tard, Thétis l'ayant secrètement recrutée pour servir Amphitrite, elle dut quitter son ami futur Général de la Sirène, n'ayant pas même le temps de lui dire adieu. Aujourd'hui elle est devenue une Naïade d'Amphitrite, portant l'écaille du Requin, mais malgré l'éloignement, ou peut-être à cause de celui-ci et de la peur de le perdre, son amitié pour Sorrente s'est transformée en amour… et c'est un amour partagé. Attaques : * Water Rhapsody (Rhapsodie de l'Eau) : La Naïade du Requin invoque son cosmos à travers sa flûte, posant les doigts sur les trous de son instrument, et, les relevant, faisant apparaître des bulles d'eau venant à l'encontre de son opposant en de terribles explosions de cosmos. Plus la bulle prend de l'ampleur plus elle s'avère redoutable, ainsi selon le rythme de la rhapsodie, Lysithéa est capable d'invoquer soit de nombreuses bulles destructrices, soit une énorme sphère capable d'emprisonner l'opposant et de le broyer sous l'effet d'un rétrécissement de cette dernière. Cette attaque est d'une étonnante diversité et, de par sa composition, n'est pas sans rappeler les Météores de Pégase et la Comète de Pégase. * Minuet of Illusions (Menuet des Illusions) : Lysithéa par son menuet endort doucement les sens de son adversaire en l'enfermant dans un monde imaginaire, nourri exclusivement par les désirs et fantasmes les plus profonds de son adversaire. Ainsi, dans un parfait monde illusoire, prenant racine dans les désirs enfouis de son ennemi, ce dernier ne peut que se complaire dans ce monde idyllique et oublier totalement la réalité de ce monde, son combat, ses motivations et tout ce pourquoi il se trouve en ces lieux, face à la redoutable Naïade, alors capable d'abréger sans peine son opposant sans défenses. Après tout, qui voudrait s'échapper d'une vie où les rêves sont réalité ? * Damned Souls Requiem (Requiem des Damnés) : Celle qui porte l'écaille du Requin est capable de rappeler à elle ceux dont l'âme fût, par le passé, expulsée de leur propre corps par son pouvoir et ce, sous l'effet du requiem macabre qu'elle joue à la flûte. Ainsi Lysithéa peut invoquer à ses côtés toutes les personnes qu'elle a jadis exécutées et, ainsi, les lancer à l'assaut de l'ennemi. Bien sûr cette attaque est limitée dans le temps : elle ne dure que le temps du Requiem qui demande beaucoup d'énergie et un temps de récupération conséquent. C'est pour cela que la jeune Naïade hésite avant de lancer cet arcane, ayant également horreur et peine à voir ses anciennes victimes, heureusement peu nombreuses. Toutefois quiconque tombe sous les assauts de Lysithéa verra son âme à jamais captive de cette dernière, susceptible d'être invoquée à chacun de ses combats. |
Remarque : Despina est la plus maladroite des Naïades, mais aussi l'une des meilleures danseuses, juste après Himalia : elle est aussi la plus débrouillarde des 8 gardiennes d'Amphitrite. Référence mythologique : Despina dans la mythologie grecque n'est autre que la fille de Déméter et de Poséidon. Description physique : Despina est l'archétype même de la bimbo brésilienne : cheveux noirs tressés, noués par des algues multicolores, peau mate et bronzée, yeux de biche aux éclats orangés. Son corps est synonyme de perfection, mais elle n'en a cure, n'étant pas narcissique pour deux sous. Malgré tout elle sait user de ses charmes, notamment lorsqu'elle pratique sa passion, la danse, art qu'elle emploie pour se détendre, unissant la beauté et la pureté des lignes de son corps dans un ballet merveilleux. Description mentale : La Naïade du Diodon est un peu la maladroite au sein de l'ordre d'Amphitrite. En effet, pas un jour n'arrive sans qu'elle ne soit blâmée par ses pairs qui lui reprochent ses innombrables erreurs. Elle se sent mal aimée, confortée en cela par Himalia qui ne cesse de la rabaisser, notamment au vue de ses meilleures prestations artistiques en danse. Despina souffre avant tout de son manque d'expérience, et, si elle faute souvent, c'est avec une facilité déconcertante qu'elle arrive toujours à se tirer des plus mauvais pas. Malgré tout, même si souvent on se moque d'elle, il n'y a pas une personne qui ne l'aime. Histoire : Despina est née au Brésil, dans la ville de Belém, métropole située aux portes de la vaste étendue de la plaine amazonienne, sillonnée par de puissantes rivières parmi les plus grandes au monde Elle garde de magnifiques souvenirs de sa cité natale, mais ne regrette pourtant pas son départ de celle-ci. A vrai dire, c'est tout à fait par hasard qu'elle s'est retrouvée au service d'Amphitrite : un jour qu'elle n'avait encore que 15 ans, elle partit dans la forêt amazonienne en remontant le cours du Guama, fleuve majeur dans sa région. Alors qu'elle traversa loin en amont la rivière, une énorme vague vint la percuter… Ce n'est que plus tard, qu'elle se réveilla, se retrouvant alors dans une sorte de sanctuaire sous-marin perdu au milieu de nulle part. Là, sur ces murs, était peinte une légende contant le retour d'une reine merveilleuse, souveraine des Eaux, ayant à son service 8 Naïades. Despina coincée sous les eaux n'eut d'autres recours que de survivre, s'entraînant par la même occasion selon les préceptes inscrits sur les murs de ce merveilleux endroit. Jamais elle ne regretta de ne pouvoir rejoindre à nouveau sa famille, car au fond, avec sa maladresse, elle n'était qu'un poids pour les siens, déjà si pauvre… Malgré tout elle sait qu'à jamais ils resteront gravés en son coeur. Attaques : * Poison Spines (Epines envenimées) : Despina se met à tourner dur elle-même de plus en plus vite, de sorte que plus personne ne puisse l'approcher au vu des mouvements d'airs repoussant les assaillants autour d'elle. Cette attaque est très bien conçue, puisque au moment où Despina atteint sa vitesse optimum, des milliards d'épines recouvertes de poison sont projetées tout autour d'elle, déchirant la chair et la souillant de son venin. * Mortal Ballet (Danse de la Mort) : La charmante Naïade projette son cosmos sur son adversaire et, tel le “Cosmis Marionnetion” de Minos du Griffon, est alors capable de contrôler ses mouvements, le poussant à une danse sans fin, à un ballet finalement mortel… * Ground Swell (Lames de Fond) : Despina se voit entourée d'une étoile aquatique qui, lorsqu'elle lève la main en direction des cieux, se voit s'étendre sur plusieurs mètres autour de la Naïade tranchant au niveau du bassin tout être se trouvant sur son passage. Celle-ci est aussi capable d'envoyer ses étoiles sur l'ennemi : une fois celui-ci au centre de l'une d'elle, il se voit submergé par une lame de fond des plus terrifiantes naissant de l'étoile même qui implose en lâchant une pression marine colossale. |
Remarque : Himalia est sans doute la plus intelligente des naïades, mais aussi la plus mystérieuse. A seulement 22 ans, elle s'impose comme l'une des plus belles femmes ayant jamais servie la déesse des mers par la splendeur de son visage et par son charisme hors du commun. C'est une danseuse hors pair. Sa maîtrise a quelque chose d'hypnotisant. Référence mythologique : Himalia est une nymphe de Rhodes, symbole du blé, qui s'unit avec Zeus et lui donna traditionnellement trois fils : le semeur, le mûrisseur et le boulanger. Description physique : Himalia a le physique d'une danseuse orientale : son galbe est gracieux et harmonieux, sa peau est de teinte cuivrée, basanée, et tout dans ses gestes est empreint d'une inaltérable grâce. Sa magnifique chevelure bouclée, d'une couleur noire aux reflets bleus, encadre parfaitement son fin visage dont l'éclat est rehaussé par une bouche des plus sensuelles et de magnifiques yeux pers, dont on dit qu'ils rivaliseraient en splendeur avec ceux d'Athéna elle-même. Description mentale : La Naïade de l'Espadon est une personne qui aime à être entourée mais qui pourtant n'est pas très bavarde. C'est qu'elle juge préférable de ne parler que quand on a réellement quelque chose à dire, et si les babillages inutiles l'embêtent un peu, elle passerait des heures à rester silencieuses auprès des autres Naïades à écouter leurs conversations animées. On la dit distante, il est vrai qu'elle s'implique peu dans la vie des autres protectrices d'Amphitrite, mais elle aime à conserver son indépendance, malgré tout. Elle demeure certainement la plus mystérieuse de toutes, mais ses principales qualités ne passent pourtant pas inaperçues : fine stratège, elle est dotée d'une intelligence redoutable, qui lui a jusqu'à présent permis de se sortir de toutes les situations, même les plus inconfortables. Des Naïades elle entretient des rapports particuliers avec Lysithéa et Galatée, avec qui elle aime à s'entraîner, la Naïade du Requin jouant de magnifiques mélodies, celle de l'Orque au chant, et Himalia à la danse. Histoire : Egyptienne, née dans une famille sans histoire, ni riche, ni pauvre, Himalia de par sa mère apprit bien tôt les charmes de la danse. Heureuse dans leur petite maison, entourée de ses frères et sœurs, celle qui plus tard atteindrait un destin hors du commun en devant Naïade, ne se doutait pas qu'elle possédait en elle une chose qui allait lui valoir d'être rejeté par tous, y compris sa famille. En grandissant, tout comme une jolie fleur laissant doucement s'ouvrir ses pétales dorés, Himalia ne cessait de gagner en beauté, tout comme sa maîtrise de la danse allant croissante. Un jour toutefois un événement imprévu vint bouleverser l'existence de la jolie jeune fille aux cheveux bouclés : alors qu'elle se mit à danser au bord des rives du Nil, afin de distraire sa famille venue pic-niquer en ce jour, une étrange lueur vint la recouvrir sans même qu'elle ne s'en rende compte. Sous les yeux horrifiés de sa modeste famille, elle déclencha involontairement un terrifiant orage qui lui valut d'être considérée comme possédée par le malin. Himalia fût envoyé voir les plus grands spécialistes de l'occulte mais rien n'y fit, personne ne trouva la cause de cette étrange lueur qui se manifestait lorsqu'elle atteignait cet état de transe lors de ses danses les plus intenses. De plus en plus mise à l'écart, soit source de peur, soit source de méchanceté, sa vie se transforma peu à peu en véritable enfer, préférant abandonner à tout jamais ce qui lui procurait joie et plaisir : la danse, sa seule passion. Un jour, une femme ayant entendu parler de la jeune fille demanda à sa famille à la rencontrer, cette jeune femme était, elle-aussi, dotée d'une mystérieuse aura, et expliqua aux proches d'Himalia que cela n'était point une manifestation démoniaque, mais bel et bien la preuve que leur fille était exceptionnelle. Elle leur promit que s'ils acceptaient de lui donner leur enfant, elle lui offrirait une destinée exceptionnelle, digne d'un demi-Dieu. Ces derniers acceptèrent donc, à la fois heureux de pouvoir offrir à leur fille une destinée que jamais ici elle ne pourrait ne serait-ce qu'effleurer, et à la fois soulagés d'être ainsi délestées du poids d'avoir une fille à part, leur valant à tous d'être traités différemment. Après avoir fait ses adieux à sa famille, les yeux plein de larmes, Himalia suivit donc celle qui l'emmenait à l'encontre d'une nouvelle destinée : Thétis. Cette dernière lui apprit qu'elle avait tout ce qu'il fallait pour devenir une guerrière émérite au service d'Amphitrite : une Naïade. Attaques : * Swordfish Foil (Fleuret de l'Espadon) : Himalia lorsqu'elle revêt son écaille des mers voit la forme totem de sa protection se décomposer et la couvrir de ses différentes parties à l'exception de l'une d'entre elles, une arme : un fleuret aussi fin que tranchant, symbole de l'Espadon, son animal protecteur. Elle n'est pas obligée de faire appel à cette arme parfaitement incorporée dans ses écailles, néanmoins, elle peut en user quand bon lui semble et elle la manie comme une professionnelle, avec l'habilité et la finesse que lui impose le port d'une telle arme. * Rain Bolero (Danse de la Pluie) : Le ciel se couvre et des nuages s'amoncèlent au-dessus des deux combattants, lorsque Himalia commence à engager sa danse de la pluie. Ainsi, alors que sensuellement elle s'exécute, la pluie se fait de plus en plus violente, apportant avec elle vents et orage, alors même que l'ennemi sembla avoir perdu toute volonté, comme hypnotisé par la grâce des mouvements de la jeune Naïade. Plus la danse perdure et plus les éléments semblent se déchaîner, prenant comme unique cible l'opposant d'Himalia, à présent maîtresse d'un mortel jeu… * Swordfish Attack (Charge de l'Espadon) : La Naïade de l'Espadon concentre son cosmos dans son fleuret qui, lorsqu'elle le projette en avant, laisse s'échapper un tourbillon aquatique des plus féroces, pouvant lacérer son ennemi : l'alliance parfaite entre le cosmos, l'arme et l'élément aquatique. |
Remarque : Galatée est incontestablement la plus belle des naïades. Ce n'est pas la plus puissante des guerrières d'Amphitrite, mais ses attaques, bien utilisées, sont redoutables. Sa particularité repose sur sa capacité à générer un mur de glace renvoyant les attaques et sur ses talents d'hypnotiseur. Référence mythologique : Dans la mythologie grecque Galatée était une des filles de Nérée et de Téthys connues sous le nom de Néréides. Elle était réputée avoir la peau blanche comme du lait et aimait un jeune berger de Sicile nommé Acis. Galatée était aussi convoitée par le cyclope Polyphème qui, surprenant un jour les deux amants, écrasa Acis sous un rocher de l'Etna. Inconsolable, Galatée pria Poséidon de transformer le sang qui coulait du corps de son amant en un fleuve ; les eaux du fleuve se jetant dans la mer, Acis viendrait ainsi, pour toujours et à tout moment, la rejoindre... Description physique : Norvégienne, Galatée a toutes les caractéristiques de la beauté scandinave. Blonde aux yeux bleus avec des formes généreuses elle est en tout point parfaite aux désirs des hommes, faisant figure de véritable “sex symbol” parmi les 8 Naïades. Très coquette, elle porte une couronne de roses à la place de son casque. Description mentale : Incontestablement la plus belle des Naïades, elle se sait belle, désirable et le revendique. Son passe temps favori est de séduire les hommes, ce que lui reprochent avec force ses consœurs, surtout Ananké, très portées sur la morale. Elle n'entretient pas pour autant des relations conflictuelles avec ces dernières qui s'émerveillent au fond de sa désinvolture. Elle aime séduire pour le plaisir d'exercer son pouvoir sur les hommes. Peu portée sur la guerre et le combat, elle tente de faire preuve d'élégance et de raffinement même vêtue d'une écaille ou au plus fort d'une bataille. Son charme peut être une arme redoutable, toutefois sa coquetterie ne se conjugue pas chez elle avec un instinct de guerrière évident, ce qui la pousse à prendre des initiatives bien souvent imprudentes. Histoire : Née en Norvège, Galatée a toujours été passionnée par les récits mythologiques de son peuple, préférant de puis toujours les divinités de la Mer à celles de la Terre. Tirant profit de son pouvoir inné de séduction, elle a très tôt entraîné ses amis dans l'exploration sous-marine des volcans et fjords qui bordent la Mer Baltique. Un jour, lors d'une de ces explorations où elle tentait de débusquer Jormungand, le serpent universel, ou de mettre la main sur le chaudron d'Aegir (géant régnant sur les mers), elle a aperçu une lumière provenant des profondeurs abyssales et, fascinée, s'en est approchée jusqu'à manquer d'oxygène. Restée inconsciente, elle a dérivé pendant plusieurs heures avant d'atteindre un des temples sous-marins d'Amphitrite qui servait à faire la liaison entre Asgard, domaine vassal de Poséidon, et le temple de l'Empereur des Mers. Revenue à elle, elle décida de rejoindre les rangs d'Amphitrite par fascination pour cette Déesse et l'avenir exceptionnel qu'elle lui promettait. Elle passa les années suivantes de sa vie à s'entraîner auprès d'Ananké, mais même la discipline de l'entraînement n'est pas parvenue à lui faire perdre sa coquetterie et sa légendaire insouciance. Attaques : * Bewitched Hymn (Chant envoûtant) : Cet arcane permet à Galatée d'hypnotiser son ennemi par le seul charme de sa voix. En effet, usant de ses dons plus que développés en matière d'hypnotisme, elle endort doucement les cinq sens de son ennemi en le faisant se fixer sur elle, alors seule chose existant en ce monde pour son adversaire, oubliant le monde qui l'entoure, véritablement envoûté par la beauté fatale qu'est la Naïade de l'Orque. Ainsi à sa merci elle peut facilement mettre un terme à l'existence de son ennemi, se montrant ainsi aussi belle et redoutable qu'une rose rouge emplie d'épines acérées. * Killer Whale Spring (Saut de l'Orque) : Galatée est capable d'user d'une attaque à l'image de son animal protecteur : l'Orque. En effet, malgré la beauté et la relative apparence d'être inoffensif, l'orque peut s'avérer un redoutable prédateur, capable de tuer une baleine : c'est un peu ce qui peut arriver à quiconque ne prend garde à l'apparente fragilité et au charme troublant de Galatée. Cette dernière immobilise son adversaire grâce à ses pouvoirs hypnotiques, faisant un saut très haut dans le ciel et retombant les deux pieds en avant ,gracieusement mais non moins violemment sur son adversaire, matérialisant dans son cosmos l'image d'un épaulard, la gueule grande ouverte prêt à dévorer sa proie. * Ice Mirror (Miroir de Glace) : La Naïade de l'Orque matérialise devant elle un miroir glacé doté de pouvoirs extraordinaires. En effet celui-ci est la parfaite symbiose de son cosmos et de ses pouvoirs psychiques, permettant à Galatée d'user d'un arcane unique en son genre. Quiconque voit son reflet dans le miroir de glace voit sa propre image sortir de la glace en vue d'un affrontement. Ainsi le miroir permet de générer un double tout aussi redoutable que l'original et usant des même attaques que ce dernier. |
Remarque : Orithye est la douceur incarnée, la confidente préférée des autres Naïades, répugnant à blesser aussi intensément que désirant toujours aider et être à l'écoute des autres. Son altruisme est connu de tous, elle symbolise le Lion des Mers. Référence mythologique : Orithye dans la mythologie grecque est fille de Nérée et est donc affiliée aux cinquante Néréides, nymphes de la Méditerranée. Chacune représente un aspect particulier de la surface de l'eau et traditionnellement elles sont représentées comme étant mi-femmes mi-poissons. Description physique : Bien qu'elle ait du sang russe dans les veines, Orithye ne ressemble en rien à ces jeunes femmes que l'on décrit comme des “Beautés du Nord”, splendides blondes aux yeux profondément bleus. En effet, ses cheveux roux et ses yeux bruns ne laisseraient deviner à personne ses origines, mais au fond qu'importe, même si elle est loin d'égaler Galatée en terme de beauté, elle ne laisse toutefois pas de marbre quiconque l'approche. Sa peau nacrée, blanche comme la plus pure des porcelaine, lui vaut d'arborer quelques taches de rousseur lorsqu'elle s'expose un peu trop à la clarté du soleil, ce qui lui vaut parfois d'être l'objet d'innocente moqueries de celles qu'elle considère comme ses sœurs : les autres Naïades. Description mentale : La Naïade du Lion de Mer est une personne très douce, calme, généreuse et donnant beaucoup de sa personne. Elle aime rendre service aux autres, essayant par tous les moyens de rendre ceux qui l'entourent le plus heureux qu'il soit, voilà pourquoi son âge encore relativement peu élevé, elle commence déjà à enseigner son savoir à quelques élèves. Orithye est une jeune femme très courageuse, qui ne recule devant rien pour venir en aide à ses sœurs les Naïades, comme elle les appelle. Elle est dotée d'une sensibilité très marquée, considérée par certains comme une force, d'autres comme une faiblesse, mais qui, en tout cas, ressort de façon particulièrement étonnante dans ses mélodies. Même si elle est avant tout guerrière d'Amphitrite, elle préfère la vie à la mort, et considère comme une perte inestimable de couper le fil d'une existence, ce qui fait qu'on n'a aucune idée précise de ses capacités belliqueuses sur le terrain, n'ayant jamais mené de véritable combat à mort. Histoire : Orithye est née en Russie et à passé son enfance avec sa mère, se suffisant l'une à l'autre, nourri d'un amour mutuel qui compensait largement la pauvreté de la Sibérie orientale, froide contrée où toutes les deux habitaient une petite cabane en bois, vivant réellement d'amour et d'eau fraîche, pourtant heureuse. Sa mère était couturière et grâce à ses ouvrages arrivait à les faire survivre, mais Orithye n'en a jamais eu cure : en ce pays il était monnaie courante de vivre ainsi, et l'affection que lui apportait sa mère comblait tout. Pourtant sa vie n'était pas idéale, car depuis son plus jeune âge, depuis ce jour où Orithye est allé à l'école, elle souffrit de l'intolérance des autres. Bien que russe de par sa mère, Orithye n'a jamais rien su de son père, sa mère se refusant à lui en parler, et c'est ainsi que son physique très atypique pour une jeune enfant russe lui valut les railleries et les méchancetés des autres enfants, voire même de leurs parents. Sa mère eut beau lui répéter qu'en grandissant tout cela irait mieux, que les enfants peuvent être bien cruels mais qu'à l'âge adulte ces mêmes petits garçon se battraient pour sortir avec elle, Orithye souffrait d'être ainsi mise à l'écart, elle qui pourtant n'était que gentillesse, calme, douceur et générosité. Un jour sa mère, d'une santé déjà précaire, mourut d'une terrible pneumonie, laissant la jeune fille dans le désarroi le plus total, elle qui par sa naïveté et son innocence ne vivait que par l'amour de sa mère, se retrouvait à présent seule, seule face à ce monde cruel dont elle était la perpétuelle risée. Décidée à rejoindre sa mère, sa seule raison de vivre, la seule qui comptait pour elle et qui lui avait apporté la chaleur d'une affection illimitée, elle courut jusqu'à la banquise où elle se laissa tomber dans l'eau glaciale, espérant contre toute attente revoir au plus tôt celle qui lui donna vie. Le destin en décida tout autrement, l'heure d'Orithye n'étant pas encore venue, et c'est ainsi qu'inconsciente, elle atterrit dans un des temples sous-marins d'Amphitrite qui servait à faire la liaison entre Asgard, domaine vassal de Poséidon, et le temple de l'Empereur des Mers. C'est là qu'elle fût découverte par des soldats de Poséidon qui lui expliquèrent que si elle était encore vivante après avoir traversé ainsi l'océan glacé pour se retrouver en ce lieu, c'est qu'un destin extraordinaire l'attendait, le jeune fit ne pouvant que constater que même la mort ne voulait d'elle… A peine plus tard, Thétis tomba sur la jeune femme et la recruta afin de devenir Naïade au service d'Amphitrite, ce qu'Orithye accepta avec déférence. Et c'est ainsi qu'elle disparut mystérieusement des rangs de Poséidon, fit la connaissance de celles qu'elle considère comme ses sœurs, les autres Naïades, dont elle est une des seules qui entretient de cordiales relations avec chacune d'entre elles et devint détentrice de l'écaille du Lion des Mers. Attaques : * Deadly Waltz (Valse de la Mort) : Orithye use de son ocarina pour emmener son opposant dans une danse macabre qui ne se finit pour ce dernier que dans le royaume d'Hadès. En effet, la Naïade du Lion de Mer, de par la parfaire maîtrise de son instrument, est capable d'accompagner son adversaire dans la mort en lui offrant “sa dernière danse”, ayant pour but d'épuiser l'adversaire jusqu'à lui faire rendre son dernier souffle. * Nocturne of Sleep (Nocturne du Sommeil) : La Naïade du Lion de Mer, de par ses extraordinaires talents à l'ocarina, est capable de susciter le sommeil de son adversaire rien que par son nocturne. Celui-ci petit à petit affaiblit le cosmos de l'opposant pour peu à peu l'endormir, voyant alors ce dernier réduit à l'état d'être sans défense, puisque incapable d'utiliser sa cosmoénergie à présent endormie. Elle ne s'attaque donc pas directement à l'ennemi, mais à la source de sa puissance : son cosmos. Toutefois Orithye est capable de provoquer le sommeil physique, mais il faut pour cela que son adversaire soit dans un état de fatigue déjà avancé, c'est pour cela qu'elle a le choix soit d'utiliser cet arcane d'entrée de combat pour éradiquer temporairement le cosmos de son ennemi, soit d'en user pour achever un combat déjà bien avancé, afin de ne pas tuer, mais simplement profondément endormir son adversaire. * Sea Lion Fangs (Crocs du Lion de Mer) : Orithye pour cet arcane doit adapter une posture spéciale lui permettant d'user des pouvoirs du lion de mers. Celle-ci poste son bras gauche en l'air, la main vers le bas, à la manière du “Thunder Claw” de Shina, tandis que son bras droit adopte la même posture seulement de façon repliée près du corps. Ainsi la Naïade du Lion de Mer pénètre la chair de son adversaire avec son bras gauche alors qu'elle le lacère en détendant son bras droit une fois l'opposant à sa portée, ce dernier ne pouvant apercevoir que la gueule béante du lion de mer sur le point de le dévorer. |